Ce voilier de rivière hollandais dit tjotter (1965), servant au ravitaillement des villages des polders hollandais présente un faible tirant d’eau (0,45 m) et un fond plat. Deux dérives latérales en bois, placées latéralement à l’extérieur de la coque empêchent le bateau de dériver aux allures du vent de travers.

Cette embarcation du fleuve Sepik (Nouvelle Guinée) se compose d’une coque monoxyle et d’un balancier, flotteur d’équilibre, relié à la coque par deux perches transversales. Dix fiches en bois dur, implantées dans le flotteur et un amarrage savant assurent une liaison sans faille. Alternant avec des tresses végétales et des

Ce voilier de plaisance en tôle rivetée construit à Nantes au chantier Dubigeon en 1860, appartient à la première génération des dériveurs conçus pour la course. Engagé en régates par des industriels nantais, il est un signe extérieur de leur réussite sociale et des compétences technologiques des chantiers nantais.Viviane est

Construit vers 1970, dans l’île Lanyu, au large de Taïwan, ce bateau de pêche au poisson volant, dit Tatara, présente un décor coloré. Des blancs, des rouges et des noirs colorent chevrons, volutes et soleils sculptés. Les dessins géométriques des extrémités sont les yeux du bateau. Les silhouettes avec volutes

Suivant l’utilisation qu’il est faite d’un navire, sa forme diffère. On distingue deux familles principales destinées à des usages spécifiques.  La pêche et le cabotage Les bateaux armés à la pêche et au transport de marchandises étaient ventrus pour accueillir une cargaison volumineuse. Les voiliers de pêche présentent une grande

Bateaux à la taille de l’homme, à l’échelle des milieux Aujourd’hui, comme hier, tous les peuples de la terre utilisent avec intelligence les matériaux dont ils disposent pour construire un engin flottant. Cette ingéniosité permet à certains d’entre eux de naviguer aujourd’hui, ici avec un curragh irlandais sortis de manuscrits

Douarnenez a été longtemps un port de pêche et le premier port sardinier breton au début du XXe siècle avec près de 800 chaloupes, soit le quart de la flottille de tout le littoral breton. Avec 4560 inscrits maritimes sur une population totale d’environ 15000 habitants en 1910, la population

Un musée pas comme les autres, consacré aux bateaux et aux hommes, de Bretagne et d’ailleurs Le Port-musée est une collection de référence nationale, aux visages multiples ; une invitation au voyage à travers les cultures maritimes d’Europe, d’Asie, d’Afrique ou d’Océanie, à bord de bateaux de travail ou de