Les parages agités et rocheux de la rivière de Morlaix où naviguait Marie-Louise, ce cotre de Carantec (1939) exigeaient des qualités de robustesse.
Avec une importante surface de voilure : une grand voile débordant largement du tableau arrière, une trinquette et un grand foc sur un long bout-dehors, Marie-Louise est un bateau rapide, vif et taillé pour remonter au vent.